Le fantôme solide

L’ennemi du cycliste n’est pas la voiture
qui s’impose sur le bitume froid et triste,
ni la pluie qui s’immisce dans les pieds, les cuisses.
Le rail du Tram’ glisse autant que le vieux pavé,

Je m’en méfie comme du verre, des trous et des vis.
Les piétons, la police… rien ne vaut Zéphyr
Toujours de face quand il siffle, de dos Continuer la lecture de « Le fantôme solide »